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    20/11/2023

    L’art de la thérapie. Irvin Yalom. Un livre plein de conseil sur la pratique de la thérapie. Yalom, I. (2002) L’art de la thérapie. 403pp. Le Livre de Poche. Librairie Générale Française. Difficulté de lecture : 3/10. Appréciation : 6/10.

     

    27/08/2023

    L’incapacité d’être seul. Catherine Audibert. Un livre indispensable sur la solitude, l’amour, les angoisses d’anéantissement et d’étouffement, les addictions à l’autre.  Audibert, C. (2008). L’incapacité d’être seul. 266pp. Petite biblio. Payot. Difficulté de lecture : 6/10. Appréciation : 8.5/10.

     

    24/08/2023

    L’évènement. Annie Ernaux. Un récit nécessaire sur la violence du biologique imposée au destin de la femme, avec une traduction en termes de domination de classe et de genre à laquelle je ne souscris pas. En ces matières la volonté est une illusion, et l’absence de solidarité dit bien plus sur l’absence d’humanité de la condition humaine.  Ernaux, A. (2000). L’évènement. 115pp. Nrf. Gallimard. Difficulté de lecture : 4/10. Appréciation : 7.5/10.

     

    11/08/2023

    Le jeune homme. Annie Ernaux. Ce récit parle de l’incapacité de l’auteur à nouer un lien affectif pérenne ce qui fait qu’elle utilise les gens comme des objets au service de son propre plaisir, de sa propre expérience de vie.  Ernaux, A. (2022). Le jeune homme. 38pp. Nrf. Gallimard. Difficulté de lecture : 3/10. Appréciation : 6/10.

     

    07/08/2023

    Dans la peau d’une djihadiste. Anna Erelle. Il n’y a, dans ce livre, ni qualité rédactionnelle, ni qualité informative, quasiment aucun intérêt, rien. Il ne fait que surfer sur une thématique d’actualité. Evitez de perdre votre temps et votre argent. Erelle, A. (2015). La société ouverte et ses ennemis. 263 pp. Robert Laffont. Difficulté de lecture : 2/10. Appréciation : 3.5/10.

     

    24 juillet 2023

    La société ouverte et ses ennemis. Karl Popper. Un livre qui retrace les fondements idéologiques et philosophiques des dictatures, extraordinairement intéressant. Un brillant plaidoyer pour la démocratie et la non-violence politique. Popper, K. (1979/1962). La société ouverte et ses ennemis. 339+334 pp. Points Éditions du Seuil. Difficulté de lecture : 7/10. Appréciation : 8.5/10.

     

    25 juin 2023

    Le jardin secret. Nancy Pearson. Un livre sans intérêt, même pas le style, dont se demande ce qui a bien pu pousser les éditeurs à le publier, alors que moi ils m’oublient. Pearson, N. (1963). Le jardin secret. 243pp. Nrf Gallimard Editeur. Difficulté de lecture : 3/10. Appréciation : 2/10.

     

    11 juin 2023

    L’art d’aimer. Erich Fromm. Une première partie très intéressante sur l’amour en tant qu’activité libre qui consiste à donner, puis une deuxième partie sur un versant beaucoup plus social qui perd en grande partie son intérêt. Fromm, E. (2016/1956). L’art d’aimer. 181pp. Pocket Belfond Editeur. Difficulté de lecture : 6.5/10. Appréciation : 6.5/10.

     

    22 mai 2023

    Raison et sentiments. Jane Austen. Voilà un livre qui raconte une histoire inintéressante, à propos de gens ennuyeux, avec un style par fois ampoulé, et qui n’apporte rien, sauf une espèce de soif de lecture qui vous fait avaler le livre plus surement qu’une pinte de bière. Là est le talent de l’auteur qui sait, avec son esprit caustique sur la société et les gens, ne pas perdre de vue son idéal fleur bleue, si beau à humer. Austen, J. (1979/1811). Raison et sentiments. 374pp. 10/18 Christian Bourgeois Editeur. Difficulté de lecture : 6/10. Appréciation : 7.5/10.

     

    15 mai 2023

    A la rencontre de son bébé intérieur. Joanna Smith. Il faut lire ce livre pour en mesurer toute l’humanité, une humanité de soi en soi, tout ce trésor d’humanité à portée de notre main, à portée du livre, il suffit juste de tourner les pages, de les humer, de s’en laisser infuser, et de voir de nouveaux horizons s’ouvrir en soi. A lire toute lecture cessante ! Un des rares livres à avoir lu avant de mourir ! Smith, J. (2023). A la rencontre de son bébé intérieur. 248pp. Dunod. Difficulté de lecture : 4/10. Appréciation : 9/10.

       

    21 avril 2023

    Au cœur du complot. Rudy Reichstadt. Un livre bien maigre en enseignements sur les complotistes, leurs méthodes et leurs motivations, essentiellement égocentré, ce que l’on peut néanmoins comprendre vu le subi par l’auteur. Reichstadt, R. (2023). Au cœur du complot. 113pp. Bernard Grasset. Difficulté de lecture : 4/10. Appréciation : 5/10.

     

    09/04/2023

    La place. Annie Ernaux. Un livre plein d’émotion qui mérite chaque page que l’on tourne. A lire ! A lire ! Ernaux, A. (1983). La place. 114pp. Folio. Gallimard. Difficulté de lecture : 3/10. Appréciation : 8.5/10.

     

    07/04/2023

    Mémoire de fille. Annie Ernaux. La lecture de ce livre, à la fois brutale et introspective, donne un goût de perdition dans la recherche de soi, qui laisse une impression de désolation humaine et d'espoir. Ernaux, Mémoire de fille. 160pp. NrF. Gallimard. Difficulté de lecture : 6/10. Appréciation : 7.5/10.

     

    15/03/2023

    Voyage aux pays de l’amour. Jacques Salomé. Que d’efforts pour lire ce livre imbu de ses vérités qui ne laisse au bout du compte que peu d’espace aux destins variés de l’amour, même si, à la fin, il paraît s’en apercevoir. Salomé, J. (2013). Voyage aux pays de l’amour. 220pp. Les éditions de l’homme, 2013. Difficulté de lecture : 5/10. Appréciation : 5/10.

     

     


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    10/09/2022

    L’occupation. Annie Ernaux. Ce petit livre demande une lecture exigeante pour bien rentrer dans le propos de l’auteur qui montre tous les plis et replis de la jalousie, un sentiment peut-être par trop délaissé dans la littérature. L’occupation. 76pp. Folio. Gallimard. Difficulté de lecture : 7/10. Appréciation : 6/10.

     

    12/07/2022

    La méthode Schopenhauer. Irvin Yalom. Un livre qu’il a fait bon lire, et qui me donne envie d’en lire d’autres du même auteur. La méthode Schopenhauer. 546pp. Le Livre de Poche. Librairie Générale Française. Difficulté de lecture : 3/10. Appréciation : 8/10.

     

    23/05/2022

    Cinquante nuances de Grey. E L James. Un livre qui se lit vite, mais le sado-maso, ce n’est pas pour moi, alors je ne crois pas que j’achèterai la suite… E L James. (2011). Cinquante nuances de Grey. 665pp. Le Livre de Poche. JC Lattès. Difficulté de lecture : 3/10. Appréciation : 5/10.

     

    17/05/2022

    La violence, Yves Michaud. PUF. Un livre à la fois compréhensif et compréhensible sur la violence, mais qui fait peut-être l’impasse sur le ressenti intérieur et psychotraumatique de la violence. Celle-ci est plus analysée sous l’angle social qu’individuel. Michaud, Y. (1986). La violence.  Paris : PUF. Difficulté de lecture : 5/10. Appréciation : 7/10.

     
    10/05/2022

    Dis, est-ce que ça repousse les ailes ? Brigitte Jacques L. Le semeur de frissons est passé par ce livre pour vous saisir le cœur ! A lire ! Lire ! Lire ! Brigitte Jacques L. (2017). Dis, est-ce que ça repousse les ailes ? 84pp. Jacques Edition. Difficulté de lecture : 2/10. Appréciation : 9/10.

      

    27/01/2022

    Entre Rêves et Réalité. Jean Letellier. Un livre qui se laisse avaler sans s’en rendre compte : à peine vu la lecture est finie, aurait dit Valéry. Bravo ! Jean Letellier. (2017). Entre Rêves et Réalités. 85pp. Edilivre. Difficulté de lecture : 3/10

     

    02/01/2022

    Passion décomposée. Valérie Dorpe. Le grand talent de l’auteure réside en sa capacité à vous faire partager son introspection, son regard sur les liens entre le corps et le cœur, et vous faire croire, au bout du compte, qu’il ne s’agit pas là d’un roman mais d’un récit autobiographique. Bravo l’artiste ! Valérie Dorpe. (2019). Passion décomposée. 111pp. Jacques Flament. Difficulté de lecture : 3/10

     

     

     


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    30/11/2021

    Du mensonge à la violence. Hannah Arendt. Un livre qui n’est pas à la hauteur de son titre. L’auteur est méconnaissable : engourdie dans ses pantoufles, le génie s’est assoupie. Hannah Arendt. (1972/1969). Du mensonge à la violence. 249pp. Calmann-Lévy, collection Pocket. Difficulté de lecture : 6/10. Appréciation : 4/10.

     

    19/09/2021

    Les théories du complot. Pierre-André Taguieff. Un ouvrage assez intéressant concernant les mécanismes psycho-sociaux qui mènent aux théories du complot. Néanmoins trop de redites, pas assez de structuration dans l’écrit, et trop d’affirmation péremptoires. Les théories du complot. 127pp. Que sais-je ? 2021. Difficulté de lecture : 6/10. Appréciation : 6.5/10.

     

    13/08/2021

    GAFA Reprenons le pouvoir ! Joëlle Toledano. L’ouvrage permet de comprendre, malgré un style pas toujours fluide, combien la mafia des GAFA est devenue un danger pour notre liberté et pour la démocratie. GAFA Reprenons le pouvoir ! 185pp. Odile Jacob. Difficulté de lecture : 5/10. Appréciation : 6.5/10. 

     

    26/04/2021

    La Psychopathologie collective. Pierre Mannoni. Un livre qui se lit facilement, avec des raisonnements quelques fois peu étayés et recourant à des affirmations gratuites. En tout cas on en ressort plus éclairé. La psychopathologie collective. 126pp. Presse Universitaires de France. Difficulté de lecture : 6/10. Appréciation : 6.5/10.

     

     

     

     

     

     

     


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    13/11/2020

    L’expertise pénale psychologique et psychiatrique. Sous la direction de Gérard Lopez et Geneviève Cédile. Mis à part quelques chapitres d’inspiration psychanalytique qui n’apportent rien si ce n’est de la confusion, dont les chapitres 20 et 21, un livre absolument nécessaire à l’expert. (2014). L’expertise pénale psychologique et psychiatrique. 419pp. Dunod. Difficulté de lecture : 6/10. Appréciation : 7/10.

     

    27/10/2020

    Mezzanine. Susan Kay Anderson. Comme ce livre m’a été donné avec gentillesse par l’auteur, j’aurais mauvaise grâce à en être critique, ce qui n’est pas pour déplaire à mon esprit de contradiction. Disons simplement que pour un lecteur dont la langue maternelle n’est pas l’anglais, voire l’américain, le livre n’est pas toujours accessible dans ses moments les plus abstraits, et qu’il requiert sans doute une certaine connaissance de la culture, voire de la littérature. Mais dans ses autres moments la poésie de Susan a l’art de vous saisir avec sa délicate beauté, en entremêlant les espaces intérieurs et les grands espaces, voire l’espace tout court, et les liens qu’elle tresse entre eux ont l’essence des sentiments. Avec ses vers ce n’est plus le poète qui a des ailes, mais son lecteur. Merci Susan ! (2019). Mezzanine. Susan Kay Anderson. 73pp. First Edition.

     

    20/09/2020

    Que crève le capitalisme. Hervé Kempf. Des raccourcis, des positions extrêmes, une absence de compréhension du fonctionnement intérieur humain qui cause le capitalisme, une absence de solution non destructrice voire une apologie de la destruction, tout ça plus sur le plan de l’émotion que de la raison : si vous voulez comprendre in vivo comment le discrédit du système mène à la violence, il faut lire ce livre, car le raisonnement de l’auteur en est un parfait exemple. (2020). Que crève le capitalisme. 121pp. Editions du Seuil. Difficulté de lecture : 2/10. Appréciation : 3/10.

     

    03/09/2020

    La Culture Générale pour les Nuls. Toujours bon à savoir, malgré quelques erreurs. La culture générale pour les nuls. 232pp. First Editions. Difficulté de lecture : 6.5/10. Appréciation : 6.5/10.

     

    11/05/2020

    Mistakes were made (but not by me). Tavris and Aronson . Facile à lire, plein d'anecdotes, une sélection des biais qui altèrent nos comportements, notre vérité. (2007/2015). Mistakes were made (but not by me). 378pp. Houghton Mifflin Harcourt Publishing Company. Difficulté de lecture : 3/10. Appréciation : 7.5/10.

     

    24/03/2020

    Le Dictionnaire des idées reçues. Flaubert. A éviter à moins que le XIXème n’aiguise la curiosité, car alors les notes du livre prennent toute leur importance. Flaubert. (1997/1913). Le Dictionnaire des idées reçues. 251pp. Librairie Générale de France. Le Livre de Poche. Difficulté de lecture : 3/10. Appréciation : 2/10.

     

     

     


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    31/12/2019 

    Quand la vie fait mal aux enfants. Hélène Romano. Un livre qui donne l’impression d’approcher parfois la quintessence de l’humanité, mais sans jamais la jouxter, avec un effet quelque peu brouillon, voire moralisateur. J’ai été un peu déçu car à chaque fois que j’entends l’auteur, je me reconnais dans ses propos. Hélène Romano. (2018). Quand la vie fait mal aux enfants. 244pp. Odile Jacob. Difficulté de lecture : 4/10. Appréciation : 7/10.

     

    31/07/2019

     La société des individus. Norbert Elias. Il est interdit de mourir avant d’avoir lu ce livre ! Composé de trois essais, il illumine sur les liens qui s’entrecroisent entre individus et société. Peut-être y manque-t-il l’accent sur le rôle de survie qu’entretient la société à l’égard des individus, qui découle de notre impéritie, ce qui fait que l’individualisation croissante des gens représente, à terme, un danger pour chacun et pour la société. Norbert Elias. (1991). La société des individus. 301pp. Éditions Fayard, collection Agora. Difficulté de lecture : 5.5/10. Appréciation : 9.5/10.

     

    19/04/2019

    Les racines du ciel. Romain Gary. L’histoire d’un type qui veut défendre les éléphants, qui n’y arrive pas, et qui n’est pas zigouillé à la fin. Bref, circulez ya rien à lire, sauf si ça vous intéresse de voir comment un écrivain peut étaler sa facilité à écrire pour ne rien dire. Romain Gary. (1980/1956). Les racines du ciel. 495pp. Éditions Gallimard, collection Folio. Difficulté de lecture : 3.5/10. Appréciation : 3.5/10.

     

    12/03/2019

    Condition de l’homme moderne. Hannah Arendt. Mais où va-t-elle chercher tout ça ?! On ne sait pas. Par contre nous on sait où on peut le trouver : dans son livre. Un exemple éclatant que la philosophie appartient à l’art, au domaine de la création, celui de la pensée. Hannah Arendt. (1983/1961). Condition de l’homme moderne. 404pp. Calmann-Lévy, collection Pocket. Difficulté de lecture : 7.5/10. Appréciation : 8.5/10.

     

     


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