Bibliographie 2019

31/12/2019 

Quand la vie fait mal aux enfants. Hélène Romano. Un livre qui donne l’impression d’approcher parfois la quintessence de l’humanité, mais sans jamais la jouxter, avec un effet quelque peu brouillon, voire moralisateur. J’ai été un peu déçu car à chaque fois que j’entends l’auteur, je me reconnais dans ses propos. Hélène Romano. (2018). Quand la vie fait mal aux enfants. 244pp. Odile Jacob. Difficulté de lecture : 4/10. Appréciation : 7/10.

31/07/2019

 La société des individus. Norbert Elias. Il est interdit de mourir avant d’avoir lu ce livre ! Composé de trois essais, il illumine sur les liens qui s’entrecroisent entre individus et société. Peut-être y manque-t-il l’accent sur le rôle de survie qu’entretient la société à l’égard des individus, qui découle de notre impéritie, ce qui fait que l’individualisation croissante des gens représente, à terme, un danger pour chacun et pour la société. Norbert Elias. (1991). La société des individus. 301pp. Éditions Fayard, collection Agora. Difficulté de lecture : 5.5/10. Appréciation : 9.5/10.

19/04/2019

Les racines du ciel. Romain Gary. L’histoire d’un type qui veut défendre les éléphants, qui n’y arrive pas, et qui n’est pas zigouillé à la fin. Bref, circulez ya rien à lire, sauf si ça vous intéresse de voir comment un écrivain peut étaler sa facilité à écrire pour ne rien dire. Romain Gary. (1980/1956). Les racines du ciel. 495pp. Éditions Gallimard, collection Folio. Difficulté de lecture : 3.5/10. Appréciation : 3.5/10.

12/03/2019

Condition de l’homme moderne. Hannah Arendt. Mais où va-t-elle chercher tout ça ?! On ne sait pas. Par contre nous on sait où on peut le trouver : dans son livre. Un exemple éclatant que la philosophie appartient à l’art, au domaine de la création, celui de la pensée. Hannah Arendt. (1983/1961). Condition de l’homme moderne. 404pp. Calmann-Lévy, collection Pocket. Difficulté de lecture : 7.5/10. Appréciation : 8.5/10.